mardi 25 février 2014

Samedi 22 Février départ / Saturday feb 22 départure

Samedi 22 Février

En matinée on fait nos valises pour ensuite allés diner au resto le Verdoyant. On appelle donc Simon pendant notre diner afin de l’informer que nous aimerions retourner faire quelques achats au village artisanal. Faut dire que Simon est toujours en «stand by» sin on a besoin de lui pour se déplacer. Ça fait partie de son emploi à la CECI. Nous sommes donc allé faire des achats que nous aurions dû faire hier, puis que finalement nous regrettions de ne pas les avoir faits.

Durant le temps que nous étions au village artisanal, j’ai reçu un téléphone de Darga, un chef de département que j’ai fréquenté à Yako, pour me dire qu’il était à Ouaga et m’invitait à aller prendre une bière avec lui. Il m’a donc demandé ou j’étais pour qu’il puisse venir me chercher. Je lui ai dit que j’étais au village artisanal, mais que j’avais un chauffeur à l’extérieur qui m’attendait, mais qu’après je pourrais certainement aller prendre une bière avec lui. En revenant dans l’auto, je dis à Simon qui connait bien Darga, qu’il venait de m’appeler pour aller prendre une bière, et il me dis, mais où est-il ? Je lui passe donc mon téléphone pour qu’il puisse le contacter. Darga lui dit qu’il est à la maison du peuple, qui est à 2 pas de notre hôtel. On se rend donc là-bas et Simon entre voir ou il est car c’est grand. En revenant il me dit, où aller à l’intérieur pour le rejoindre. Je rejoins donc Darga qui était très content que nous puissions partager ensemble, un dernier verre de houblon avant que je quitte. 

Vers 4 :00 je quitte donc pour aller terminer mes valises, prendre une douche et attendre que Simon vienne nous chercher pour l’aéroport, car notre vol est prévu pour 21 :00

Le trajet qui nous attend en est un de 26 heures avec les correspondances puisque nous faisons, Ouagadougou, Niger, Paris, Armsterdam, puis finalement Montréal

Vendredi 21 Fev / Friday Feb 21

Vendredi 21 Février

À 8 :30, Simon notre chauffeur, venait nous chercher Christine et moi à l’hôtel pour nous amener faire nos derniers devoirs à la CECI avec Clémentine. Rendu à la CECI Clémentine voulait nous montrer les derniers rapports que nous devions compléter. Elle s’était donc installé dans la salle de réunion avec son laptop et son projecteur, mais malheureusement à cause d’une connexion internet beaucoup trop lente, ont n’arrivait pas à faire ce que nous devions faire. On a donc décidé qu’il serait plus approprié de compléter nos rapports à notre retour au Canada. Pendant que nous étions dans la salle, Clémentine m’a demandé si je pouvais l’aider avec Outlook, car elle avait quelques difficultés, puisqu’elle venait il y a à peine 1 mois de passer à Outlook. J’ai donc pris quelques minutes avec elle pour l’aider, car son système l’empêchait d’envoyer de nouveau message. On a réglé le tout, puis par la suite c’était au tour de Fatima, la patronne de Clémentine, de me demander si je pouvais également l’aider avec Outlook. J’ai donc passé encore quelques minutes avec elle pour régler son problème, et lui expliquer quelques fonctionnalités d’Outlook.

Après cela, Simon nous a amenés à la clinique, puisque Christine devait aller faire changer son pansement suite à la blessure qu’elle c’était fait en trébuchant. On s’est donc rendu à la croix rouge de Ouaga pour rencontrer un médecin. Contrairement à nous ici au Québec, ça pris moins d’une minute, et l’on était assis dans le bureau du médecin. Tout en changeant le pansement de Christine, nous jasions avec le médecin qui nous disait qu’il était un musicien (joueur de guitare), et qu’il était pour produire un CD de promotion sous peu. Il nous a expliqué que lorsque qu’il s’est acheté sa première guitare, il a dû demander la bénédiction de son père, car son père n’était pas très enclin à voir son fils s’acheter une guitare. Son père lui a donc dit de terminer ses études en médecine, et qu’après il pourrait se la procurer ! Être médecin au Burkina Faso ne revêt pas le même caractère/noblesse qu’être un médecin au Canada ou ailleurs, semble-t-il.

Il nous demandait si on avait des contacts à Montréal que l’on pourrait lui donner, car il avait entendu dire qu’il y avait beaucoup de festival de musique, et il aimerait ça auditionner pour participer à l’un deux. Nous lui avons dit que nous connaissions Lassima Dramé, un Burkinabé musicien vivant maintenant à Montreal, et que nous étions pour les mettre en contact. Oh qu’il semblait heureux !

Sortie de la clinique après 20 minutes, nous sommes retournés à la CECI faire nos adieux, car c’était la dernière fois qui nous y allions. On a donc quitté avec notre chauffeur pour aller dîner au resto le Paradisio. Comme à l’habitude, nous avons invité Simon, mais il a décliné L !

Il est donc revenu nous chercher une heure plus tard, pour ensuite nous amener au Village Artisanal, ou nous avons passés le restant de l’après-midi à contempler tout l’artisanat qui se fait. À notre sortie, nous sommes retournés à l’hôtel pour ensuite aller souper au restaurant le Gondwana. Ce restaurant m’avait été recommandé par des collègues à Yako, en me disant que plusieurs occidentaux aimaient aller manger là. Effectivement l’endroit était très beau et la nourriture très bonne. Le restaurant est également une galerie d’art et d’artisanat en provenance de nombreux pays d’Afrique et tous les objets exposés sont en vente, La façon dont le restaurant fonctionne est la suivante. divisé en quatre sections ;

·         La maison Gourounsi
·         La tente Touraeg
·         Le salon Mauritanien, et ;
·         La petite temte Touraeg

On choisit donc un espace où l’on veut manger, selon le décor qui nous plait. Tout est en sable, et mise à part 2 endroits, les autres sont à l’extérieur. Ce fût une belle expérience culinaire, et devinez quoi… Simon s’est finalement joint à nous J ! Et oui, après lui avoir tordu le bras solide, il a finalement accepté. C’est drôle parce qu’on le sent pas à l’aise de se joindre à nous pour manger. Pas parce que c’est nous, mais c’est plutôt quelque chose de culturelle. Il s’est donc commandé une mini pizza (croûte mince), elle devait avoir au maximum 7 pouces. Faut dire que Simon doit mesurer environ 6’2`` et peser 210lbs, donc vous voyez le genre. Il était trop timide pour se commander quelque chose de plus gros qui aurait coûté plus chère. Evidemment il a mangé sa pizza dans l’temps de le dire. Christine lu ai donc mis dans son assiette près de la moitié de son plat et moi, je lui ai donné la majorité des frites que j’avais pris en accompagnent du steak de Bœuf que j’avais pris. Il a tout mangé sans problème. Il s’était finalement laissé aller un peu. Vers les 9 :00 nous sommes retournés à l’hôtel puisque Regma, notre joueur de gembe devait revenir pour me donner un gembe. Et voilà notre comment s’est déroulé notre avant dernière journée, car demain soir à 21:00, nous quittons.





Jeudi 20 février / Thursday Feb 20

Jeudi le 20 Février

Aujourd’hui, il s’agit d’une journée de congé pour moi, mise à part le fait que je dois compléter mon rapport de fin de mandat en avant-midi. J’en ai donc profité pour avoir une bonne nuit de sommeil et me lever vers 8 :00.

En après –midi, je suis allé me promener au grand marché de Ouaga, quelle expérience J ! D’abord, c’est immense et il y a beaucoup de monde. Ils vendent à peu près de tout dans ce marché qui est en plein air. Ce ne fût pas trop que le visage pâle s’est fait reconnaître. Aussitôt vu, aussi  vite approché J !

Je devais avoir 5-6 vendeurs autour de moi, et tous voulais me vendre quelques choses. Il était donc difficile de se promener sans se faire achaler, si on peut dire ainsi. Néanmoins, il y en a un qui me disait qu’il vendait du linge, et je lui ai dit que je n’en avais pas besoin, et il m’a alors mentionné qu’il vendait aussi des objets d’artisanat, ce à quoi j’étais intéressé.  Il m’a demandé de le suivre et évidemment la cohorte a également suivi. Rendu sur place, il me fait entrer dans une boutique de linge ! Je lui dis donc, comme je lui avais dit, que je n’avais pas besoin de linge, mais que si je l’avais suivi, c’est parce qu’il m’avait parlé d’artisanat. Du même coup, on est sorti de sa boutique pour se rendre dans la boutique d’artisanat. Là, j’ai pu regarder ce qu’il avait. À l’extérieure de la boutique m’attendait cette cohorte de vendeur. J’ai donc vu des choses qui m’intéressaient et j’ai demandé le prix. Ici, tout doit être négocié. Le prix qu’il me donne au départ est beaucoup trop  cher, et je lui dis. Il me répond qu’il peut faire mieux à l’extérieur du marché, Ce qu’il faut savoir ici, est que lorsqu’on achète à l’intérieur du marché, ils ont une sorte de taxe à payer. Alors, s’il on sort de ce qui délimite le marché, ils n’en ont pas.

Rendu à l’extérieur, on a continué à négocier jusqu’à un prix que je considère juste. J’ai donc fait mes achats et continué mon petit bonhomme de chemin, mais pas seul J ! Et non, j’avais toujours la cohorte de vendeur qui voulait me vendre leurs produits. Il y en a qui me disait, «monsieur, j’ai été patient à vous attendre, encouragez moi !» Et je leurs disaient, «je comprends que tu veux me vendre de tes produits, mais j’en ai pas de besoin. Toi achèterais-tu quelque chose dont tu n’as pas de besoin !». Et là je continuais à marcher. Quelques-uns ont abdiqués, mais il y en avait un qui lui ne voulait rien savoir. Il a marché à mes côtés sur une distance de près d’un kilomètre, soit jusqu’à mon hôtel, où il ne pouvait pas entrer. Tout au long de cette marche, il ne cherchait pas à me vendre de ses produits, mais sa tactique était plutôt de devenir «chummy» avec moi. Rendu à l’hôtel, il m’a demandé, «aurais tu quelque chose que tu pourrais me donner ? ». Je lui ai alors dit, regarde, si tu veux, je peux te donner une paire de pantalon, mais à te regarder, ils seront trop grand, et en plus, ils ne sont pas lavé ! Un large sourire a illuminé son visage, et il m’a dit, «oh oui j’aimerais ça !». Je lui ai dit, attend moi ici je vais revenir, le temps d’aller à ma chambre chercher les pantalons et revenir. Lorsque je lui ai remis, il était tout sourire, m’a remercié, et a quitté.


Pas toujours facile, car ils auraient tous besoin d’un coup de main, mais malheureusement on ne peut pas aider tout le monde. À mon retour à ma chambre, il était déjà près de 17 :00. Je me suis donc reposé, avant l’aller souper à l’institut français vers les 19 :00.

jeudi 20 février 2014

Mercredi 19 février, départ de Yako/ Wednesday febaury 19, i'm leaving Yako


Mercredi 19 février

Journée quelque peu fébrile puisqu’aujourd’hui je quitte ma petite communauté de Yako L pour me rendre dans la capitale, Ouagadougou. Mon séjour est maintenant terminé dans cette jolie petite communauté que j’ai su apprivoiser, et apprécier au fil du temps. Tout le monde au centre sait que je quitte aujourd’hui, et à tour de rôle ils viennent devoir pour me saluer et me remercier. D’autres me donne des biscuits, un chandail du Burkina Faso, etc. Tout le monde est super gentil.

J’attends madame Clémentine Vimbamba, parti de Ouaga avec Simon le chauffeur plutôt dans la journée. Elle m’appellent vers les 8 :30 pour me dire qu’ils arriveront un peu plus tard que prévu, car ils ont eu un empêchement. Elle me dit qu’elle devrait être au Centre vers les 11 :00.

Pendant ce temps, je ramasse mes derniers effets personnels, et jasent avec tout le monde présent. Une fois cela fait, je me dirige chez la couturière chercher une jupe que j’ai fait faire pour ma femme, ainsi qu’une nappe et des napperons. Pendant que j’attends, puisque les napperons ne sont pas encore terminés, je vois la jeep de Simon passé devant avec Mme Vimbaba. Je quitte donc en disant à la couturière, que les gens que j’attendais sont arrivés et que je vais revenir plus tard. En me rendant au Centre, je vois que Mme Vimbamba a amené avec elle Christine, l’autre volontaire de Ouaga. Elle voulait lui faire voir Yako!

Je dois avec Mme Vimbamba, rencontrer les chefs de départements, puisque l’on doit faire mon bilan de fin de mandat ensembles. On s’installe donc dans la salle de réunion où Mme Vimbamba, commence et ouvre la rencontre en faisant la lecture à tous, de ce qui était mon mandat. Nous le passons point par point, à savoir si j’ai complété ou non ce que j’avais à faire, et si non, pourquoi. Comme je les avais tous complétés, et même que j’étais allés plus loin que ce que le mandat demandait, tous était très content. J’ai reçu de beaux éloges de mes collègues tels que; «On ne s’est jamais senti bousculé lorsqu’il avait besoin de nous, il avait le tour de nous faire sentir important». Un autre disait en regardant ces collèges «Moi j’ai été grandement surpris lorsqu’ils nous a tous rencontrés pour avoir nos commentaires, comment il a dirigé la conversation, et que tout l’monde s’est exprimé ouvertement, sans retenues. Fallait le faire, car je connais mes collègues!». Un autre disait « Il est toujours poli dans ses demandes, et je ne sais pas comment il fait, mais il connait tout le monde par leurs prénoms, même moi je n’arrive pas à le faire encore aujourd’hui!». D’autres disaient des choses comme «Il a su s’intégrer rapidement au groupe», «il n’avait pas peur questionner nos positions et nos idées, et il posait beaucoup de question. Il cherchait toujours à comprendre, pourquoi telle chose était faite de telle façon», etc. Tout ça pour vous dire, qu’ils étaient très contents et par le fait même, à les entendre, je l’étais tout autant. Ces commentaires étaient très valorisants :)!

Mme Vimbamba était très contente elle aussi, et a mentionné qu’au début elle était très inquiète lorsqu’on lui a remis le mandat, pour ensuite être à la recherche d’un volontaire pour l’exécuté. Elle se disait, comme il s’agissait d’un mandat très différent de ce qui s’est fait dans le passé, et le peu de temps destiné au mandat (4 semaines, mais en réalité 3), elle doutait que l’on puisse y arriver. Donc visiblement, elle aussi était contente J! Ah oui, pendant la rencontre on s’est fait interrompe, puisqu’une dame apparemment voulait me parler! Il s’agissait en fait de la couturière venue me porter mes achats, car elle avait peur que je quitte, et que je les oublies! Voyez comme ces gens sont gentils :)!

Nous sommes donc allés prendre un dernier dîner chez Hélène, Mme Vimbamba, Christine, Darga et moi. Comme j’avais pris la photo de la fille d’Hélène (didi) la semaine dernière avec un t-shirt de Pharma Science, la compagnie ou travaille Christine, j’ai dit à Christine, aimerais tu que je te présente la Didi en question? Bien sûre qu’elle me répond. Je demande donc à Helene ou est Didi car je ne la vois pas à l’extérieur. Elle me dit qu’elle est à l’intérieur en pénitente car hier elle n’avait pas été fine, et lui avait dit qu’elle ne voulait plus aller à l’école! Elle nous dit alors venez avec moi dans le resto. En s’entend, le resto d’Helene n’est que 2 pièces d’environ 12 x 12 environ chacune. On entre donc à l’intérieur par la porte de derrière puis traversons la première petite pièce, et arrivé dans la seconde, voilà la petite Didi en pénitence, le bras attaché à la cuisinière:)!!! Autre temps autre mœurs!

Toujours en est-il qu’après le dîner, soit vers les 15 :00 nous avons quittés Yako :(! Arrivés à Ouaga au Ran Hotel vers les 17 :00, nous étions fatigués et Christine voulait aller se reposer, alors que moi, aller installer mes choses dans ma chambre et prendre une bonne douche avec de l’eau chaude. Le gros luxe quoi, j’avais de l’eau chaude, des serviettes, et du papier de toilettes :)! Whou…ou! Est-ce que je peux rester uncore un mois :)!

On s’est donc donné rendez pour aller souper à 18 :30 à l’institut français, pratiquement voisin du Ran Hotel. C’était bon, mais surtout différent que de mangé du riz lol ! Sur place nous y avons rencontré Alexi un joueur de gembe (vous savez ces Tam Tam que l’on se met entre les jambes). Il était bien sympathique. Vers 21 :30 nous avons quittés pour nous rendre à l’hotel, car Claudette, l’homologue de Christine venait la rencontrer avec sa fille. De plus, Regma, un joueur de gembe devait venir rencontrer Christine pour lui remettre ces 2 gembe qu’elle a achetés. Nous nous sommes donc installés sur le bord de la piscine le temps de savourer une bonne bouteille d’eau froide pour ensuite aller au dodo!









Wednesday, February 19

Day somewhat feverish since today I’m leaving my small community of Yako L to go in the capital, Ouagadougou. My stay has been completed in this nice little community that I managed to tame and appreciate over time. Everyone knows that the center that I’m leaving today and in turn they come to greet me and thank me. Others give me cookies, a Burkina Faso sweater, etc.. Everyone is super nice.

I expecting Madame Clementine Vimbamba, today, as she’s supposed to come from Ouaga with Simon the driver, to pick me up. She calls me around 8: 30 to say they will arrive a little later than expected, because they had to leave later. She said she should be in Yako around 11: 00.

Meanwhile, I went to picked up my last personal effects, and chat with everyone present around. Once done, I head to the dressmaker to get a skirt that I had made for my wife and a tablecloth and placemats. While I wait, since the mats are not yet completed, I saw the jeep passed buy with Mrs Vimbamba. I left the place saying I would be back later, because the people I was expecting had just arrived. On my way to the Centre, I see Mrs. Vimbamba who brought along with her, Christine the other volunteer Ouaga. She wanted her to see what Yako looks like!

So we had a meeting with Mrs. Vimbamba, and all the department heads, since it is my end-of-term mandate. We therefore installed ourselves in the meeting room where Mrs. Vimbamba, starts and opens the meeting by reading all of what was my mandate. We go step by step, whether or not I completed what I had to do, and if not, why. As I had all completed what I had to do, and even gone further than the mandate requested, everyone was very happy. I received fine praise from colleagues such as, "We never felt rushed when he needed something and he always made us feel important." Another said looking at his colleagues "Me, I was greatly surprised when all of us met a few weeks back with him, and how he led the conversation, and that the whole team has expressed openly, without any kind of retention. This is quite something to accomplish as I know my colleagues! ". Another said "He’s always polite when talking to us, and I don’t know how he does it, but he knows everyone by their first names, even I can’t remember all of them!". Others said things like "He was able to quickly integrate the group," "he was not afraid to question our positions and ideas, and he asked a lot of questions. He always tried to understand why such a thing was done in such a way. You could feel he was interested ", etc. All that to say, they were very happy, and therefore I was to. These comments were very rewardingJ!

Mrs. Vimbamba was very happy too, and mentioned at the beginning she was very worried when she received the mandate and then had to look for a volunteer to do it. She said, as it was a very different kind of mandate which has been done in the past and with such little time for the term (4 weeks, but in reality 3), she was skeptical we could do it. So obviously, she was very happy about the outcome :)! Oh yes, during the meeting we got interrupted, since a lady apparently wanted to talk to me! It was actually the dressmaker who came to bring me my stuff because she was afraid that I would leave without it! See how these people are nice :)

So we went for a last dinner at Helene place, Mrs. Vimbamba, Christine, Darga and I. Hey probably my last bowl of rice for a while! Last week I took the photo of Helene’s girl (didi) with a Pharma Science t-shirt, the company Christine works for. I told Christine, would you like me to introduce you to the Didi ? Sure she says. I therefore ask Helene where is Didi is because I do not see her outside. She said she is inside a penitent because yesterday she was not nice, and told her she wanted to quit school! She told us so come with her in the restaurant. Btw, Helene’s restaurant is only two 12x12 size room. So we went across one room to get to the other, and there was Didi, the arm tied up to the stove because she was in penance :( !!!! Other times other manners!


After lunch around 15: 00 we left Yako :(!  Arrived in Ouaga at the Ran Hotel around 17: 00, we were tired and Christine wanted to rest, while I got install my things in my room and take a shower with hot water :)! The big luxury here, hot water, towels, and toilet paper :)! Whou ...ou can I stay another month :)!

It was therefore agreed to meet for supper at 18: 30 at the French Institute, neighbor of the Ran Hotel. It was good, but mostly different than eating rice lol! On site we met a Gembe player Alexi (you know those Tam Tam they put between there legs). He was very nice. At 21: 30 we left to get to the hotel, because Claudette, the counterpart of Christine came to meet with her with her daughter. In addition, Regma another Gembe player came to meet Christine to give her two Gembe she bought. So we sat near the pool time to enjoy a good bottle of cold water and then went to sleep!

mardi 18 février 2014

Mardi 18 Février

Journée excitante aujourd’hui puisque je suis allé à l’école primaire de Kibou àYako y rencontrer les élèves, ainsi que leurs remettre des effets que j’avais amené avec moi. Fascinant de voir ses jeunes qui s’émerveillent avec peu. Je leurs ai donnés des «fresby», mais il ne savait pas comment utiliser cela J! Je leur ai donc montré.

Par la suite je suis entré dans les classes leur dire quelques mots et prendre quelques photos. Mon ami Dan, qui fait une présentation demain dans une école d’Ottawa au sujet du Burkina, m’avais demandé s’il était possible d’écrire un petite mot, style « Bonjour à la classe de Azzi» et prendre une photo, afin qu’il puisse leur montrer demain. J’ai donc fait cette pancarte et pris quelques photos. De plus, j’avais mentionné à Moustafa, le responsable du parrainage d’enfants que je voulais parrainer des enfants pour l’éducation. Nous sommes donc allés à deux différents lycées en fin de journée afin que je puisse faire un don. J’ai donc parrainé 26 enfants pour un an. Ceci comprend les frais de scolarité, les frais annuel d’inscription, les frais de bibliothèque, etc. Ce sont ici, les frais que doivent assumer les parents pour que leurs enfants puissent avoir la possibilité d’aller à l’école.

Qu’elle expérience inoubliable. Faut dire que les enfants choisis pour le parrainage, sont des enfants que supporte normalement la SEMUS, et qui sont orphelins. Quand je me suis présenté aux différent lycées, la réaction fût la même du directeur de l’établissement, «Que dieu vous bénissent pour votre générosité». Pour nous, leurs donner l’équivalent de $1,000. Canadien qui sert à parrainer 26 enfants c’est peu, mais pour eux autres, c’est une toute autre chose.

Aujourd’hui j’ai également appris que demain était ma dernière journée ici même à Yako, moi qui croyait que c’était jeudi plutôt! J’suis donc content d’avoir fait cette visite aujourd’hui.

Comme il s’agissait de ma dernière soirée ici, Darga, un des chefs de dept, m’a amené prendre une bière, ok plus que une J!, dans un endroit très typique, près de chez lui, et au fil de la soirée, plusieurs autres personnes se sont jointes à nous, dont Taho le responsable du dept de comptabilité et finance.

Je vous laisse donc regarder les photos de ma visite à l’école :)!





















Tuesday, February 18

Exciting day today, since I went to a primary school name Kibou in Yako to meet students and give them some goodies that I had brought with me . Fascinating to see those young kids how happy there were. I gave them some " fresby ", but they didn’t know how to use it J! So I showed them.

Eventually I got into classes say a few words and take some pictures. My friend Dan, who is making ​​a presentation tomorrow in a Ottawa school, about Burkina , had asked me if it was possible to write a small word, something like " Hi to Azzi’s class " and take a picture, so he can show them tomorrow. Azzi is the teacher in the Ottawa school. So I made this sign and took some pictures . In addition, I mentioned to Moustafa , head of sponsorship of children, that I wanted to sponsor children for education. We went to two different schools in late afternoon so that I can make a donation . So I finally sponsored 26 children for one year. This includes tuition fees, the annual registration fees, library fees , etc. These are the annual costs their parents have to face to send them to school.

What a unforgettable experience . I must say that the children selected for sponsorship, children are normally supports SEMUS and are orphans. When I introduced myself to the different schools, the reaction was the same to both school, « May God bless you for your generosity». For us, giving them the equivalent of $ 1,000. in Canadian $$, is a lot of money, but for them, it helps them to sponsors 26 children!

On another topic, today I also learned that tomorrow is my last day here in Yako , which I thought it would be Thursday! So I’m glad that I did this today, as tomorrow I woldn’t had had a chance to do that.

As it was my last night here in Yako, Darga , a dept leader, took my out for a beer and for dinner! …, ok more than one beer J! , we went in a very typical area near his home, and over the evening, several others joined us, including the head of the finance dept,Taho.

Ok, so I will let you enjoy today’s pictures from my visit to the 2 schools :)!

lundi 17 février 2014

Lundi 17 Février ...elle est tellement mignonne / Monday Febuary 17 ...she's so cute!

Lundi 17 Février

Petite journée tranquille qui a débuté par notre réunion hebdomadaire du lundi matin. Par la suite j’ai continué mon travail qui en est dans ses derniers détails. Mais je suis plus souvent qu’autrement retardé par le manque de disponibilité des gens et/ou, le retard des gens à se présenter à une rencontre. Tout cela se répercute donc sur mon habileté à pouvoir avancer dans mon travail. J’ai accroché Darga qui est un chef de département vers 3 :30, et nous avons terminé sa partie à 18 :45 !

En passant la connexion Internet a été beaucoup plus stable aujourd’hui !

PS: Je vous présente Didi, la fille que Helene, la propriétaire du resto a adopté. Je vous rappelle que Didi était orpheline de parents décédés du Sida. Helene l'avait adopté puisque personne n'en voulait puisqu'elle est elle aussi infecté par le Sida Je lui ai donné un petit t-shirt et un petit toutou et ça faite sa journée. maintenant, chaque fois qu'elle me voit, elle vient me prendre par la main, tellement cute :)!



Monday febuary 17

Today was a quiet day that began with our weekly meeting like every Monday morning. Thereafter I continued my work which is in its last details. But I am more often delayed by the lack of availability of people and / or the delay of people to attend a meeting. Therefore, all of this affects my ability to be able to get things done. I finally was able to meet with Darga, who is a department head at about 3: 30, and we ended our day around 18: 45! I don’t get to sit down very often with him, so I took advantage of it today.

Btw, the Internet connection was much more stable today !

PS: Here is Didi, the little girl that Helene, the restaurant owner has adopted, since both of her parent died from Aids. Nobody wanted to take care of her, because she is also infected
I gave her a t-shirt and a little doggie. Now, when she sees me, she come at me and grab my hand, she's so cute :)!

dimanche 16 février 2014

Dimanche 16 Février / Sunday febuary 16

Dimanche 16 Février

Après un déjeuner de groupe, Dr. Laberge m’a invité d’aller avec eux faire la visite des patients à la clinique, question de s’assurer que tout est correct et leur donner leur congé. Les enfants et leurs parents passaient la nuit à la clinique dans une chambre où il pouvait y avoir 4 à 5 familles. Tous ont reçu leurs congés! Par la suite, c’était la journée de congé qui débutait. C’est à ce moment que nos chemins se sont séparés, eux leur journée de congé et moi pour Yako!

Merci Beaucoup Dr & Dre Laberge de m’avoir permis d’assister à votre quotidien, qui est de loin différent du mien, mais tellement enrichissant J! Un gros merci pour votre gentillesse, ainsi qu’à votre équipe !

En passant, mes techniciens sont toujours ici en ce dimanche pour essayer de régler la stabilité du réseau! Honnêtement, je pense que je n’en verrai pas la fin :)!

Sunday, February 16

After a group breakfast, Dr. Laberge invited me to go with them to visit their patients at the clinic, about ensuring that everything is correct and give them their ok to leave. Children and their parents spent the night at the clinic in a room where there could be four to five families in the same room. All received their ok to leave this morning! Thereafter, their day off began. It was at this time that our paths separated, them for their day off, and I for Yako!

Many thank you to both Dr & Dre Laberge for allowing me to attend your day, which is far different from my usual day, but so rewarding :)! A big thank you for your kindness to both of you and your team!

By the way, upon my return, the technicians are still here working on trying to stabilize the internet connection! Honnestly, I don’t think I will ever see the end :)!

Samedi 15 Fevrier (moi dans la salle d'opération) / Saturday febuary 15 (me in the surgery room)


Samedi 15 Février / Saturday Febuary 15

Samedi le 15 Février

Je dois quitter Yako pour prendre l’autobus en direction de Ouaga, car aujourd’hui je m’en vais passer la journée à la clinique Suka avec le couple des Drs Laberge. Dr Jean-Martin Laberge et son épouse, Louise Caouette Laberge, sont tous deux chirurgiens, qui sont venus ici avec la mission qu’ils ont fondée il y a plusieurs années, soit Mission Sourire d’Afrique (MSA). Mais avant, je dois passer au Ran Hôtel chercher mon cellulaire que j’avais oublié la semaine dernière. Puis je vous invite à aller voir la page Facebook : 

https://www.facebook.com/MissionSouriresDAfrique?fref=ts

Toujours est-il que je quitte le centre à 8 :40, et qui est-ce que je croise, bien oui le technicien d’hier venu continuer son travail. Je lui demande, et puis, ça fonctionne? Il me dit on travaille dessus!

J’arrive donc à Ouaga vers les 11 :00, prend un taxi jusqu’au Ran Hôtel, lui demande de m’attendre le temps que je ramasse mon téléphone, et nous voilà partis pour la clinique. Arrivé à la clinique, je suis accueilli par Marthe qui est bénévole pour la mission. Marthe en réalité, travaille pour le musée des Beaux-Arts de Montréal, mais agi comme bénévole avec le couple Laberge depuis plusieurs années. Elle me fait faire le tour de la clinique et de leurs installations. On me donne du linge pour me changer, afin que je puisse aller dans la salle d’opération. Dans la salle d’opération, il y a Dre. Laberge qui opère un jeune enfant ainsi que Dre. Patricia Bertholucci, qui elle aussi opère un jeune enfant. Tous deux sont entourés de l’équipe d’anesthésiste, d’infirmières, etc. J’y rencontre également Dr Laberge qui est dans la salle. Nous y restons quelques instants seulement, puis Marthe continue de me faire visiter leurs installations. Elle me montre la salle de réveil et par la suite nous montons au deuxième étage, où son bureau est installé. Elle a son laptop installé et me montre les photos des enfants qu’ils ont opérés cette semaine et ceux à être opéré aujourd’hui. Je suis fasciné de voir les résultats!

Je dois dire qu’ils sont très bien organisés, depuis l’admission jusqu’au réveil et le suivi, l’enfant est bien pris en charge. Lors de l’admission, l’enfant est accompagné par ses parents, et des fois, un tuteur également. On récolte les informations de l’enfant, tel que le nom, date de naissance (quand ils le savent, sinon l’âge), on pèse l’enfant, etc. On prend alors une photo de l’enfant avec un numéro, pour mieux pouvoir l’identifier, le suivre, ainsi qu’avoir une photo de l’avant opération, car il va s’en prendre une autre après également, question de voir l’avant et l’après. C’est juste fascinant de voir ce que la MSA fait gratuitement pour ses enfants. Le couple Laberge n’en est pas à ses premières armes, puisqu’il s’agit de la 3e fois qu’ils viennent ici à Ouaga, sans compter le Mali, et d’autres endroits qu’ils ont faits.

Mais quel don de soi-même qu’ils font, ainsi que les gens qui les entourent. Pour moi, il s’agit d’une expérience extraordinaire, que de pouvoir assister aux opérations qui se déroulent durant la journée. Je suis resté dans la salle d’opération toute l’après-midi à observer comment tout se déroule, en plus d’observer deux chirurgiennes à l’œuvre. Je leur lève mon chapeau, d’abord pour leurs savoirs, mais aussi pour leurs habiletés et dextérités. Ils sont là concentrés sur leur patient pendant au minimum 1 :30 pour un cas peu complexe, et pas toujours dans une position de travail, qu’on dirait ergonomique. Durant la journée ils ont fait 9 opérations je crois, et le tout s’est terminé vers les 18 :30. Petite journée aujourd’hui pour eux, puisque quelques bénévoles sont tombés au combat à tour de rôle avec la gastro L! Les autres journées, ils finissaient plus tard. Juste avant de quitter, ils s’assurent que tous leurs patients sont réveillés, en faisant la tournée.

Nous avons donc quitté la clinique Suka pour nous rendre à la résidence Hanane ou ils logeaient tous, ainsi que moi-même pour la soirée, et nous avons pris le souper ensemble. On sentait beaucoup de fatigue, puisque depuis qu’ils étaient arrivés lundi matin, une chose n’attendait pas l’autre. Après quelques heures de sommeil à leurs arrivées, question de recharger les batteries, ils sont immédiatement allés à la clinique afin de commencer à s’installer, et depuis, ils n’ont jamais cessé de faire de longue journée. Petit bémol, demain (dimanche), c’est relâche J! Ils ont tous planifié se rendre ensemble dans un autre Hôtel où il y a une piscine et relaxer. Une pause bien méritée, je peux vous l’assurer!

Fait cocasse, lorsque je suis entré dans ma chambre pour aller me coucher, j’ai commencé à défaire mon sac à dos, pour y sortir mon linge, brosse à dents, etc. Lorsque j’ai mis ma main dans mon sac à dos pour y sortir mes choses, il y avait un lézard d’environ 5 pouces qui s’est mis à s’agiter J! J’ai fait le saut moi aussi! J’ai donc fermé immédiatement la fermeture éclair, puis amené mon sac à dos à l’extérieur pour y laisser sortir la petite bestiole. Je n’arrive toujours pas à savoir comment il a pu s’introduire dans mon sac à dos, puisque je fais toujours attention pour ne pas laisser rien d’ouvert. Mystère et boule de gomme!

Ps: Dans les photos, vous pouvez voir les photos d'un jeune, opéré en 2010 (l'avant et après), puis maintenant en 2014, soit 4 ans plus tard. Quel merveilleux travail des chirurgiens de Mission sourire d'Afrique :)!



Dre Patricia Bertholucci à gauche et Dre Louise Caouette Laberge à droite


Dre Patricia Bertholucci

Dre Louise Caouette Laberge et son mari, Dr Jean-Martin Laberge

Une belle petite fille qui trainait sa petite soeur opéré, dans son dos

Avec sa petite soeur (photo de mon Iphone)


Après l'opération


Avant l'opération en 2010

Aujourd'hui en 2014






Saturday, February 15


This morning I left Yako to take the bus to Ouaga , cause today I am going to spend the day at the Suka clinic with the couple Dr. Jean- Martin Laberge and his wife, Louise Caouette Laberge, both surgeons, who came here with the mission they founded several years ago called, Mission Sourire d’Afriquea (MSA). But before getting there, I had to go and pick up my cell phone Ran Hotel that I had forgotten last week. Btw, I invite you to visit MSA facebook page at :

https://www.facebook.com/MissionSouriresDAfrique?fref=ts


Still, I left the SEMUS at 8: 40, and guess who I ran into , yes the technician that came to finish his work. I asked him, so does it works? He told me we're working on it !
So I got to Ouaga to 11: 00 , took a taxi to the Hotel Ran, asks the driver to wait for me while I pick up my phone , and then went to the clinic. Arrived at the clinic, I was greeted by Marthe who is a volunteer for the MSA. Martha actually works to the Montreal Fine Art Museum, but acts as a volunteer with the Laberge couple for several years now. She tour me around the clinic and their facilities. They had brought some extra clothes for me wear, so I can go into the operating room. In the operating room, there was both, Dre. Laberge and Dre. Patricia Bertholucci which were operating on some young children. Both had their team of anesthesiologist , nurses, etc. . I also met Dr. Laberge who was also the room. We stay there only a few moments, than Marthe continues to show me their facilities. She shows me the recovery room and then we went on the second floor, where her office was located. She had her laptop set up and showed me pictures of children they operated ​​this week and those to be made ​​today. I was fascinated to see the results!

I must say they are very well organized, from admission to monitoring, the children are well taken care of . In admission, the child is accompanied by his parents, and sometimes , by a tutor . Information about the child is harvested, such as name, date of birth (when they know it) and then they weighed the child, etc. They then take a picture of the child with a number, first to help them better identify the child, and secondly to use a before and after look. It's just fascinating to see what the MSA is doing for the children, free. The Laberge couple aren’t at their first visit in Ouaga, in fact it’s their 3rd time they come here. They also did the Mali, and other places.

But what a gift of themselves they are giving, them and their team! For me, it is an extraordinary experience that can assist live to those. I remained in the operation room throughout the afternoon, seeing how everything was done. It is quite an experience to see those surgeons at work. I salute them, first for their knowledge, but also for their skills and dexterities. They have to be focused on their patient for at least 1:30 for less complex cases and they are not always in an ergonomic position to work. During the day they made 9 operations I believe, and it all ended around 18:30. Short day today for them, as they were short of volunteers because of sickness (gastro L)! The other days, they were finishing later. Just before leaving, they tour around making sure all their patients are awakened and fine.

We left the Suka clinic to get to the Hanane residence where they all lived , as well as myself for the evening, and we had dinner all together. I could feel a lot of fatigue, because since they arrived Monday morning, it was just one thing after the other for them. When they arrived last Monday, they just went for a nap and then went to the clinic to install their stuff, and since then, have never stopped making long days. Tomorrow is a day off for all of themJ! They planned to get together in another hotel where there is a swimming pool and relax. A well-deserved break, I can assure you that!

Funny fact, when I walked into my room to go to bed, I started to unpack my backpack, in order to get my clothes, toothbrush, etc. When I put my hand in my backpack to get my things, there was a lizard of about 5 inches long in my backpack! It surprised me I can tell you! So I immediately closed the zipper, and then brought my backpack outside to let out the little lizard. I still do not know how it was able to get into my backpack, because I 'm always careful not to leave anything open. Mystery!

Ps: In the pictures, you can also see a patient that was operated in 2010 (the before and after), and then 4 years later, today in 2014. What a amazing well done job from the surgeons of Mission Sourire d'Afrique :)!

Vendredi 14 Février St-Valentin! / Friday Febuary 14 St-Valentine !



Vendredi 14 Fevrier


Suite à ma journée d’hier, j’avais un peu de rattrapage à faire aujourd’hui. J’ai donc continué à travailler mes mandats ainsi que les attributions reliées aux différents postes.

Comme c’est la St-Valentin aujourd’hui, j’aurais bien aimé faire un petit coucou à ma femme via skype, mais malheureusement pas de chance, puisque pas de connexion L!

Les gens de réseau sont arrivés ici vers 13 :00 pour essayer de rendre la connexion plus stable. Ils ont été ici toute la journée. Après mes multiples tentatives à essayer de faire un coucou à ma femme en soirée, et cela sans succès, je suis allé les voir vers 22 h 30 alors qu’ils étaient encore ici. Je leurs ai demandés délicatement , comment se fait-il que plus il joue à stabiliser la connexion, moins elle soit stable! Ils m’ont répondu, «mais tout fonctionne bien!». Ha oui, où ça, ça fait plus de 2 heures que j’essaye de me connecter et ça ne fonctionne pas!

Comme j’étais dans la salle de conférence lorsque j’essayais, ils m’ont dit, viens ici dans le bureau adjacent au bureau de secrétariat. Le type m’accompagne donc jusqu’au bureau et me demande, avec quel réseau j’essayais de me connecter. Je lui ai que je les avais tous essayés. Après tout, un gars ne veut pas manquer de faire un coucou à sa femme le jour de la St-Valentin, n’est-ce pas. Déjà que je ne suis pas là, c’est la moindre des choses J

Pour revenir au type, il me dit que c’est impossible! Bon, j’aimerais le croire, mais je commence à voir de la misère à le croire. Pour ceux d’entre vous qui me connaissez assez bien, savez que je me débrouille quand même relativement bien en informatique, et que je ne suis relativement pas patient avec l’informatique quand ça ne fonctionne pas, comme je le disais dans un précédent message. Quoi qu’il en soit, je suis les instructions du type à la lettre, avec quand même un certain scepticisme. Comme il y a plusieurs réseaux ici (honnêtement je ne sais pas pourquoi), on commence par le premier. Résultat, échec! On va au deuxième, résultat échec! On va au troisième ainsi que jusqu’au cinquième , toujours le même résultat , échec!

Le type qui pensait avoir fini sa journée et que tout fonctionnait sur des roulettes, commençait soudainement à se poser des questions,, mais continuait tout de même à me dire que c’est impossible. Il me dit alors, je vais débrancher tous les réseaux et on va les rebrancher un à un, et on va les essayer. D’accord! Après tout, je veux faire un coucou à ma femme pour la St-Valentin, et lui dire que j’ai un cadeau pour elle, que j’avais pris soin d’acheter avant mon départ et que j’avais caché dans un tiroir à la maison. Donc on essaye à nouveau tous les réseaux un après l’autre avec toujours le même résultat! Dans sa tête comme dans ses paroles, il continue à dire «Impossible». Moi je lui dis, je veux bien te croire, mais c’est tout ça que je fais depuis 2 heures et ça n’a jamais fonctionné!

Il part quelques instants puis revient en me disant, viens avec moi dans le bureau du secrétariat , j’ai une connexion. Et moi de lui dire à la blague, « admettons qu’il y a une connexion dans le bureau du secrétariat, ça veut-tu dire qu’à chaque fois que je voudrai me connecter, il va falloir que j’aille m’asseoir sur les genoux de la secrétaire J! C’est bon, il riait encore à cette heure-là!

Mais là je suis assis dans le bureau du secrétariat et il me dicte quoi faire. Je suis à la lettre ses instructions, et finalement, devinez quoi, eh oui, ça ne fonctionne pas J! Là il croit que c’est mon ordinateur qui fait défaut! Vous savez quand il y des gens qui ne veulent pas perdre la face, et sont prêt à faire mer et monde pour vous prouver qu’ils ont raison , bien on en est là. Il demande alors à son partenaire d’aller chercher son laptop et de se brancher, ce que fait son partenaire pendant que j’assiste à la scène. Finalement ça ne fonctionne pas pour lui non plus!

Là il a abdiqué, et finalement avoué qu’il ne comprenait pas ce qui se passait, lui qui pensait avoir terminé. Je m’excuse d’être cet oiseau de malheur, mais bon, il aurait été obligé de revenir le lendemain de toute façon. Moi j’en avais assez, il était maintenant rendu 11 :30 et j’étais fatigué. J’ai donc tiré ma révérence pour aller me coucher en me disant que ma femme comprendrait bien, puisqu’elle est une personne très compréhensive. C’est moi qui tenais absolument à lui faire un coucou et lui donner son cadeau de la St-Valentin. Que voulez-vous, on contrôle ce qu’on peu dans la vie. Je me suis dit que je me reprendrais demain soir puisque je serais à Ouaga dans un hôtel qui a le Wi-Fi.

Friday, February 14

After my day yesterday, I had some catching up to do today. So I continued establishing the tasks and the responsibilities related to different positions.
As Valentine's Day is today, I would love to say a little hello to my wife via skype, but unfortunately no luck, since no connection L !

Network people came here to 13:00 to try to make the connection more stable. They were here all day. After my repeated attempts to try to say a little hello to my wife in the evening without success, at 22:30 I went to see the technicians while they were still here . I told them in a very delicate way, «how is it that the more you plays to stabilize the connection , the less stable it is! They said, " but everything works fine! ". Oh really, it's been over two hours that I try to connect and it does not work !
As I was in the conference room when I tried, they said, come here in the office adjacent to the office of the secretariat. Therefore the guy came with me to the office and asked me, with what network I tried to connect? I told him that I had tried them all. After all, a guy does not want to miss his wife on Valentine's Day! Since I’m not home, this is the least I can do J!

Back to the guy, he told me that it is impossible! Well, I would like to believe him, but I’m starting to be skeptical here. For those of you who know me well enough, knows that I'm pretty comfortable with computers, and I 'm relatively not patient with the computer when it doesn’t work, as I said in a previous post . Anyway, I follow step by step what the guy tells me to do, still with some skepticism. As there are several networks here ( I honestly do not know why ), we began with the first . Result = failure! We go to the second one, result = failure! I go to the third through the fifth, and the results are the same, failure!

The guy who thought he had finished his day and everything worked smoothly , suddenly began to ask himself some questions, but still, he continued to tell me that it was impossible. He then told me, I will disconnect all network and we will reconnect one by one, and we will try them all. Okay ! After all, I want to say a nice little hello to my wife for Valentine's Day , and tell her that I have a gift for her, I had taken care to buy before I left and I had hidden in a drawer at home.

So we try again all networks one after another with the same result ! In his head (and in his words), he continues to say "Impossible" . I told him I wanted to believe him, but that’s what I’ve been at for the last 2 hours!

He then leaves for a moments and then comes back telling me, come with me in the secretariat, I have a connection there. And I told him as a joke, " Let’s say there would be a connection in the secretariat office, does that mean every time I’ll want to connect , I’ll have to go sit on the secretary’s J! The good news, he was still laughing at this time of the day! But seriously, your signal can’t go further than that office?

Anyway, I’m sitting in the secretariat office and the guy starts to tell me again what to do step by step. I am literally following his instructions, and finally , guess what, it doesn’t work J! Now he believes that the problem is my computer! You know when there are people who do not want to lose face, and are ready to make heaven and earth to prove to you that they are right, well this is the type of guy I’m facing. He then asks his partner to get his laptop and connect. Finally it does not work for him either!

There he abdicated, and finally admitted he did not understand what was happening. Sorry to burst your bubble, but you would of have to come back tomorrow anyway. As it was 11:30 and that I was tired, I pulled my bow and went to bed and told myself that my wife would understand , since she is a very understanding person . It was me who really wanted to say a little hello and give her, her gift on Valentine's Day. What can I do, I can only control what I can in life, right! Tomorrow is another, so I’ll try again tomorrow in the evening since I’ll be in a hotel in Ouaga that has Wi-Fi.

Comment font-ils leurs briques / How are they doing their bricks

Vous aimeriez savoir comment il fabrique les briques de leurs maisons (pour ceux qui en ont évidemment). Bien regardez le processus ci-après. C'est au pic et à la pelle qu'il creusent dans le sol et taille leurs briques. Ouff, oubliez ça un grand carré de maison :)!












You would like to how they do their bricks for their houses (for those who can afford it of course). Look at these pictures, to see their process. It's all manual. They dig into the ground with pick and shovel to do their own brick! Ouff, hope you don't have a huge house to cover :)!

vendredi 14 février 2014

Jeudi 13 Février / Thursday Febuary 13


 Jeudi 13 Février (English at the bottom)

J’étais dans la salle de travail depuis 7:30 , lorsque j’y suis sortie pour aller faire imprimer un document vers 9 :00. En sortant je salue Moktar qui était là, et j’ai engagé la conversation avec lui. Il me faisait part qu’aujourd’hui il allait sur le terrain avec Mr. Le Président pour rencontrer un groupe de femmes qui participent au programme «Épargner pour le changement». En fait ce programme ce veut un programme de sensibilisation à l’épargne collective. Dans les fait, il s’agit d’un regroupement de femmes se mettent ensembles, afin de mettre quelques $$ de côté en caisse commune. Ces argents appartiennent donc au regroupement, et ces dernières peuvent même emprunter dans le compte, si besoin il y a. Par contre, tout prêt doit être remboursé dans un délai maximum de 6 mois.

Sur l’entrefaite, Mr. Le président sort et se joint à notre conversation. Il me dit alors, «tu devrais venir avec nous ce matin pour rencontrer ce groupe de femmes!». Bon, je me dis s’il me l’offre, c’est qu’il pense que ce serait intéressant pour moi d’y assister. Je lui dis donc que je suis à travailler les mandats actuellement, mais s’il juge que ce serait intéressant, j’peux bien me joindre à eux. Il me dit alors, ramasse tes choses, on va t’attendre! Je ne fais ni un ni deux, et je ramasse mes choses. Après tout, ce sera une autre expérience!

On se rend donc à la mairie de la ville De La-Toden à environ 25 km de Yako. Rendu sur place, on rencontre le secrétaire général qui nous accueille. Il nous fait asseoir dans son bureau, le temps de nous dire que Mr. Le Maire est présentement absent, puis on se lève et quitte. Me semble qu’il aurait pu nous dire ça dans le couloir, au lieu de nous faire venir dans son bureau pour maximum 20 secondes et nous dire ça! Mais bon, j’imagine que c’est comme ça que ça devait se passer J!

On se rend donc de l’autre côté de la rue, au centre de la femme, ou nous attendent un regroupement de femmes, tous assissent là sur des chaises pliante en métal. En avant d’eux, une table vide leur fait face. Style table d’honneur dans un mariage. Ha, bien regarde donc ça, ça l’air que c’est là qu’on s’installe ! Me voici donc assis à la table d’honneur avec Mr. Le président, Moktar, la mairesse suppléante, le secrétaire général de la ville ainsi qu’un représentant de AIRTEL et un autre type dont j’ignore qui il est. En passant, AIRTEL c’est un peu comme leur BELL ou TELUS.

La rencontre commence donc à 10 :00, et c’est Mr. Le président qui ouvre la séance d’information avec son discours. Je ne comprends absolument rien de ce qu’il dit puisqu’il parle le Moré, mais bon peu importe, je vis l’expérience. Pour vous situer dans le contexte, nous sommes à l’extérieur sur un pavé de ciment recouvert d’un toit de d’aluminium. Un peu comme si nous serions dans un mariage sous une grande tente blanche, comme on en voit occasionnellement.

Bien que je ne comprenne rien du Moré, je décortique tout de même qu’il parle du principe de l’épargne et regarde souvent Ousmane le représentant AIRTEL. Dans les faits, leurs épargnes ils la donnent à Ousmane qui lui, verse directement via son cellulaire, l’argent dans le compte bancaire du regroupement. Par le fait même, il les femmes peuvent voir sur leurs cellulaires leurs soldes. Ah oui j’oubliais, ici, bien qu’ils n’aient pas beaucoup d’argent, presque tout le monde a un cellulaire. Ce n’est pas cher.

Donc 11 :00 arrive et c’est la pause. Une dame a fait des sandwiches et offre des sacs d’eau, vous savez comme on avait dans le temps, mais à ce moment-là c’était des jus. On reprend donc à 11 :15. Rendu à 12 :05 je regarde ma montre en me disant, ça doit être à la veille de finir, car j’en peu plus d’être assis sur une chaise de métal à 38 degrés, et je m’endors. Un peu gênant lorsque l’on est assis à l’avant et on combat le sommeil. Je me dandine sur une fesse et sur une autre comme un jeune en manque de ritalin. Faut dire que tout se passe en Moré depuis le début. Dans la salle, il n’y a que des femmes, dont certaines avec leurs enfants qui allaitent tout en écoutant les différents intervenants. À 12 :35 j’en peux plus, je me lève et va m’installer debout derrière le groupe. Ouf, ça fait du bien!

Au bout d’une vingtaine de minutes, je me dis, ça doit être à la veille de finir, mais non ça continue. Je fais les cent pas derrière question de tenir réveillé. Ce n’est qu’à 14 :00 que le tout s’est terminé! Ils ont terminé ça avec une chanson en tapant des mains et dansant, un peu originale! Surtout que l’on m’a expliqué que la chanson a trait à l’épargne des femmes!!!

Moktar me demande après la chanson si je voudrais bien prendre une photo de toutes les femmes avec Mr.Le président, ce que je fais immédiatement. Par la suite, il servait le dîner avec du riz (eh oui!) et une bonne salade de concombre, piments, tomates et carottes. Nous avons donc quittés à 14 :45, pour revenir à la SEMUS à 15 :30. Ouais, ma journée venait pratiquement d’y passer, mais il me restait une rencontre avec Mr. Le président et Taho le chef comptable, afin de revoir son mandat.

Pour une journée où je prévoyais avancer beaucoup, ça sera pour une autre fois!

La Marie De La-Toden

La table d'honneur, si l'on peut dire ainsi!

Le regroupement de femme


L'ensemble du groupe à la fin de la séance


Thursday, February 13


I was in the meeting room since 7:30, when I went out to go to print a document at 9:00. On my wayI w out I saw Moktar who was there, and I started a conversation with him. He shared with me today he was in the field with Mr. President to meet a group of women who participate in the program "Saving for Change." In fact this program is an outreach program to collective savings. In fact, In reality it’s a group of women that put together some $ $ $ aside in a common fund. So this money belongs to all of them, and they can even borrow in the account, if needed.

If they borrow, the loan must be repaid within a maximum period of 6 months.
The meantime, Mr. President comes out and joined our conversation. He then told me, "You should come with us this morning to meet this group of women!". Well, I think if I offer it’s because he thinks it would be interesting for me to attend. So I told him that I am currently working mandates, but if he says that it would be interesting, I can surely join them. He then told me, go pick your things, we'll wait for you! After all, I’m saying to myself, it will be a different experience!

We therefore went to the city hall of De La-Toden which is about 25 km from Yako. There, we met the Secretary General who welcomed us. He made us sit in his office, the time to tell us that Mr. Mayor is currently absent, then gets up and leaves. Seems to me that he could have said this in the hallway, instead of bringing us into his office for a maximum of 20 seconds and tell us that! But hey, I guess that's the way it is :)!

We therefore went to the other side of the street, to the women center, where a group of women, were all sitting down on folding metal chairs. In front of them, an empty table facing them. A little bit like an honor table in a wedding. So here I am sitting at the honnor table with Mr. President, Moktar, the deputy mayor, the secretary general of the city and a representative of Airtel and another guy I know. By the way, AIRTEL is a bit like their BELL or TELUS company.

The meeting therefore begins at 10: 00, and it is Mr. President that opens the briefing with his speech. I do not understand anything of what he says because he speaks Moré, but hey whatever, I living the experience. To put you in the context, we are outside on a paved cement under an aluminium roof. As if we would be in a large white wedding tent, as we see occasionally.

Although I do not understand anything at Moreé, I’m still able dissects a few things, like the principle of savings, and during his speech, Mr President often look Ousmane the AIRTEL representative. In fact, the way it works is that they give their savings to Ousmane, and he deposit the money immediately in the group bank account via his cell. By the same token, women can see it on their cell their balances. Oh I forgot, here, although they do not have much money, almost everyone has a cell. It is not expensive.

So at 11: 00 we have a break. One lady made sandwiches and offers bags of water, you know those we had when we were kid, except, at the time it was juice. We therefore continued at 11: 15. At about 12: 05 I looked at my watch and told myself, we must be close to the end. I feel so tired and sitting on a metal chair for the last 2 hours while it’s 38 degres outside, I’m almost falling asleep. A bit annoying when you're sitting in the front and fighting not to sleep. I can’t stay still on my chair. I feel like a young kid in need of Ritalin. I must say that everything happens in Moré since the beginning, so nothing to help when you don’t understand a clue of what’s being said. In the room, there are only women, some with their children who are breastfeeding while other are listening to the various stakeholders. At 12: 35 I can’t any more, I finally get up and install myself in the back of the group. Oh, it feels good!

After twenty minutes, I think, it must be on the verge of ending. I'm trying to keep myself awake behind. It is only at 14: 00 that it all ended! They finished with a song by clapping and dancing, a little bit original I must say! Especially as it was explained to me that the song relates to women's savings!

Moktar asked me after the song if I could to take a picture of all women with Mr.Le President, which I did immediately. Thereafter, they served us rice (yeap again!) and a good salad of cucumber, peppers, tomatoes and carrots. So we left at 14: 45, to return to the SEMUS for 15: 30. Yeah, my day had practically go by, but I still had a meeting with Mr. President and Taho chief accountant to review its mandate.

For a day when I thought I would accomplish a lot, it will be for another time!

jeudi 13 février 2014

Mercredi 12 Février / Wednesday Febuary 12

Mercredi 12 Février
Journée relativement calme, puisque  j’ai passé la journée à rédiger les premières ébauches de mandat de travail ainsi que les attributions de tâches. Donc une journée «Word» J! Encore une fois,  durant mon dîner je suis allé marcher, et encore une fois on me disait «hey nazzara, photo!». J’ai donc fait plusieurs photos d’enfants durant mon heure de lunch !










Wednesday febuary 12

A relatively calm day today, as I had to do the first draft of the mandates and task attributions. In a nutshell, it was what I call a «Word» day J! Again, during my lunch, I went walking around, and as usual kids were telling me « Hey Nazzara, Photo». So guess what I did during my lunch time, pictures of kids!