Vendredi 21 Février
À 8 :30, Simon notre chauffeur, venait nous chercher Christine et moi à l’hôtel pour nous amener faire nos derniers devoirs à la CECI avec Clémentine. Rendu à la CECI Clémentine voulait nous montrer les derniers rapports que nous devions compléter. Elle s’était donc installé dans la salle de réunion avec son laptop et son projecteur, mais malheureusement à cause d’une connexion internet beaucoup trop lente, ont n’arrivait pas à faire ce que nous devions faire. On a donc décidé qu’il serait plus approprié de compléter nos rapports à notre retour au Canada. Pendant que nous étions dans la salle, Clémentine m’a demandé si je pouvais l’aider avec Outlook, car elle avait quelques difficultés, puisqu’elle venait il y a à peine 1 mois de passer à Outlook. J’ai donc pris quelques minutes avec elle pour l’aider, car son système l’empêchait d’envoyer de nouveau message. On a réglé le tout, puis par la suite c’était au tour de Fatima, la patronne de Clémentine, de me demander si je pouvais également l’aider avec Outlook. J’ai donc passé encore quelques minutes avec elle pour régler son problème, et lui expliquer quelques fonctionnalités d’Outlook.
Après cela, Simon nous a amenés à la clinique, puisque Christine devait aller faire changer son pansement suite à la blessure qu’elle c’était fait en trébuchant. On s’est donc rendu à la croix rouge de Ouaga pour rencontrer un médecin. Contrairement à nous ici au Québec, ça pris moins d’une minute, et l’on était assis dans le bureau du médecin. Tout en changeant le pansement de Christine, nous jasions avec le médecin qui nous disait qu’il était un musicien (joueur de guitare), et qu’il était pour produire un CD de promotion sous peu. Il nous a expliqué que lorsque qu’il s’est acheté sa première guitare, il a dû demander la bénédiction de son père, car son père n’était pas très enclin à voir son fils s’acheter une guitare. Son père lui a donc dit de terminer ses études en médecine, et qu’après il pourrait se la procurer ! Être médecin au Burkina Faso ne revêt pas le même caractère/noblesse qu’être un médecin au Canada ou ailleurs, semble-t-il.
Il nous demandait si on avait des contacts à Montréal que l’on pourrait lui donner, car il avait entendu dire qu’il y avait beaucoup de festival de musique, et il aimerait ça auditionner pour participer à l’un deux. Nous lui avons dit que nous connaissions Lassima Dramé, un Burkinabé musicien vivant maintenant à Montreal, et que nous étions pour les mettre en contact. Oh qu’il semblait heureux !
Sortie de la clinique après 20 minutes, nous sommes retournés à la CECI faire nos adieux, car c’était la dernière fois qui nous y allions. On a donc quitté avec notre chauffeur pour aller dîner au resto le Paradisio. Comme à l’habitude, nous avons invité Simon, mais il a décliné L !
Il est donc revenu nous chercher une heure plus tard, pour ensuite nous amener au Village Artisanal, ou nous avons passés le restant de l’après-midi à contempler tout l’artisanat qui se fait. À notre sortie, nous sommes retournés à l’hôtel pour ensuite aller souper au restaurant le Gondwana. Ce restaurant m’avait été recommandé par des collègues à Yako, en me disant que plusieurs occidentaux aimaient aller manger là. Effectivement l’endroit était très beau et la nourriture très bonne. Le restaurant est également une galerie d’art et d’artisanat en provenance de nombreux pays d’Afrique et tous les objets exposés sont en vente, La façon dont le restaurant fonctionne est la suivante. divisé en quatre sections ;
· La maison Gourounsi
· La tente Touraeg
· Le salon Mauritanien, et ;
· La petite temte Touraeg
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